L'homme-cerisier avait poussé sur les ruines de Joseph K.
Offert en holocauste à des dieux souvenirs, des machines immobiles.
Écrasé par ses frères. Destin lié par des fils tissés des mains d'un maître.
Sa vie, poème en pyramide aux couleurs affranchies, s'achève sous des colonnes miroirs, renvoyant sans pareil la rigide blancheur de ses vains appareils.
Il meurt.

M.Kaugrit